L’Irlande quand elle n’accueille pas les sièges sociaux des big pharma exporte ses dirigeants. Depuis six mois, Padraic Ward préside la filiale française de Roche Pharma, troisième filiale du géant suisse par son chiffre d’affaires après les États-Unis et l’Allemagne. Avec 70 molécules en développement, Roche mise toujours sur l’innovation. Et n’envisage pas la création de filiale spécialisée dans les biosimilaires ou les génériques. Deux lancements de produits dans le mélanome et la leucémie lymphoïde chronique rythment l’année 2016. Roche investit également l’immuno-oncologie avec un pipeline diversifié. Mais l’oncologie n’est plus le seul domaine d’excellence. Un médicament majeur est annoncé dans la sclérose en plaques. L’accès aux médicaments innovants dans ce contexte demeure essentiel. Certes, il est aujourd’hui plus aisé que dans de nombreux autres pays avec la liste en sus. Mais un décret vient de réformer son mode de fonctionnement. « Pourtant elle ne représente que 2 % des dépenses de l’assurance maladie. L’Etat est notre seul client. Nous devons faire avec », rappelle Padraic Ward. Son pragmatisme anglo-saxon tranche avec les rotodomades à la française.
70 molécules en développement chez Roche
Publié le 14/04/2016
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Crédit photo : Roche
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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