Remplacer la consommation de 10 % d'aliments transformés et ultratransformés par une quantité équivalente de produits frais diminue le risque de plusieurs cancers (ORL, côlon, foie), confirme une large étude menée par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ). Les résultats sont issus de la cohorte prospective Epic ayant inclus plus de 450 000 personnes dans 10 pays européens. Ce travail vient confirmer l'association déjà observée dans l'étude française NutriNet-Santé.
La consommation d'aliments ultratransformés représente entre 25 à 60 % de l'apport énergétique quotidien total dans les pays développés. Les effets cancérogènes s'expliqueraient par la prise pondérale, la faible valeur nutritionnelle mais aussi les additifs et les composants néoformés.
R. Cordova et al., Lancet Reg Health Eur, 2023. doi.org/10.1016/j.lanepe.2023.100771
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1