• Dr Bernard Ortolan, président du CNFMC des libéraux :
« Les textes sont en train de s’écrire. Ils prévoient la création d’un conseil national de développement professionnel continu. Si toutes les institutions s’entendent bien, il n’y a pas de raison de ne pas arriver à donner à chacune d’elle un rôle légitime dans le dispositif. La recherche d’un consensus est un impérieux besoin ».
•Dr Olivier Goëau-Brissonnière, président de la Fédération des spécialités médicales (FSM) :
« La FSM trouve toute sa légitimité dans le système et aspire à être officiellement reconnue. Nos structures fédératives sont à même d’assurer une expertise scientifique indépendante, de recenser et d’évaluer les actions prioritaires spécifiques et d’élaborer le programme des cycles de DPC de leur spécialité. Les missions de la FSM devraient être la labellisation des conseils nationaux (fédérations par spécialité) par rapport au cahier des charges décrit par voie réglementaire, l’élaboration de la méthodologie de DPC en partenariat avec la HAS ou la validation des programmes de DPC élaborés pour chaque spécialité. Il est important que ce dispositif repose sur les professionnels ».
• Dr Xavier Deau, vice-président de l’Ordre des médecins :
« Nous sommes enfin dans une dynamique professionnelle de la formation médicale continue puisque tous les acteurs sont associés au sein du DPC. Les rôles sont clairement définis et cette coordination des syndicats, des universitaires, de l’Ordre des médecins et de la Haute autorité de santé devrait enfin faire émerger une formation de qualité adaptée aussi bien aux besoins de santé de la population qu’à chaque médecin dans son exercice quotidien ».
Contactée par « le Quotidien », la Haute autorité de santé n’a pas souhaité répondre.
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