« Consciente » du souhait de certaines femmes d’accoucher « dans une ambiance moins médicalisée », l’Académie de médecine n’en demeure pas moins circonspecte sur les maisons de naissance. La sortie immédiate « dans les heures qui suivent la naissance » et la responsabilité engagée « en cas de transfert vers le service de gynécologie obstétrique » inquiètent l’institution.
L’Académie privilégie trois pistes : le développement « d’espaces physiologiques inclus dans les services de gynécologie-obstétrique » gérés par des sages-femmes ; « l’accès de sages-femmes libérales au plateau technique des cliniques privées » ; le « renforcement » des effectifs de sages-femmes hospitalières et « l’organisation d’une rotation des sages-femmes entre la maison de naissance et la maternité ».
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