Les avocats Jean-Christophe Coubris et Philippe Courtois devraient déposer ce mardi 12 février une soixantaine de plaintes au nom d’utilisatrices de pilule de 3e et 4e générations, mais aussi de l’antiacnéique Diane 35, auprès du pôle de santé publique du Tribunal de grande instance de Paris.
Depuis décembre et la première plainte de Marion Larat, consommatrice de Méliane, contre l’industriel (Bayer) et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), les actions en justice se multiplient. Fin janvier, Me Coubris en a déposé 14 contre 14 pilules contraceptives de marques différentes, produites par 5 laboratoires.
« Nous avons été destinataires de plus de 650 témoignages de victimes de ces pilules ; la plupart, après avoir réuni leur dossier médical entendent, déposer plainte à leur tour », ont indiqué les deux avocats. « Nous souhaitons, par cette démarche, obtenir une réaction de l’agence du médicament et du gouvernement, de sorte à ce que, comme pour Diane 35, la commercialisation des pilules 3e et 4e générations soit suspendue », ajoutent-ils.
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1