La chanteuse française Chimène Badi est devenue l’ambassadrice de « Proud to be » (fier d’être), une campagne menée par Interpol qui vise à sensibiliser le public au problème des faux médicaments. La chanteuse de 29 ans, découverte dans une émission de télé-réalité en 2002, participera aux événements publics et concerts de la campagne. Elle interprétera également, en collaboration avec d’autres artistes internationaux, des titres de l’album « Proud to be » dont la sortie est prévue au printemps 2012. « Interpol est honoré d’accueillir Chimène Badi dans sa campagne Proud to be. Ses efforts contribueront à faire connaître notre mission et à sensibiliser le grand public aux risques liés aux médicaments contrefaits », a déclaré le secrétaire général Ronald K. Noble. « Quand j’ai appris l’ampleur du problème des faux médicaments, qui peuvent blesser des personnes proches de moi, des enfants, des femmes et des familles entières, j’ai tout de suite accepté de soutenir la campagne », a expliqué Chimène Badi. Chaque jour, des milliers de personnes innocentes et vulnérables mettent leur vie en péril en prenant de faux médicaments ou commercialisés illégalement, sur Internet notamment, précise Interpol. Lancée en octobre 2011, la campagne « Proud to be » a d’autres parrains de renom tel que le Sénégalais Youssou N’Dour.
Chimène Badi : une voix contre les faux médicaments
Publié le 16/02/2012
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Dr L. A.
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature