Les prothèses de hanche dites « à couple métal/métal » sont des implants qui associent un cotyle et une tête fémorale métalliques. Apparues dans les années 1950, ces prothèses étaient tombées en désuétude jusqu’à ce que certains industriels les remettent au goût du jour dans les années 1990. Et, aujourd’hui, 7% des 100 000 prothèses de hanche posées chaque année en France sont de ce type. Ces implants ont l’avantage d’une plus grande solidité, notamment chez le patient jeune et/ou actif, mais « un nombre réduit de porteurs de ces prothèses peuvent développer des réactions indésirables pouvant être liées aux débris d’usure métalliques », souligne l’Afssaps. À ce titre, suite à la détection de taux de reprise supérieurs à ceux attendus, la société Depuy s’est vue contrainte en 2010 de retirer du marché mondial ses prothèses de resurfaçage ASR et le système monobloc métal/métal ASR XL.
Le come back mitigé du métal
Publié le 09/03/2012
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature