Deux mots d’histoire
- 1916 : découverte de l’héparine qui a été utilisée dès les années 1940-1950.
- 1940 : première utilisation thérapeutique des anticoagulants oraux : les antivitamines K (AVK).
- Années 1980 et début des années 1990 : arrivée des HBPM (héparines de bas poids moléculaire).
- Fin des années 2000 : apparition des anticoagulants oraux directs (AOD).
Bon usage
Les anticoagulants sont associés à un risque hémorragique élevé.
Les AVK sont la première cause d’hospitalisation pour effets indésirables graves.
La prévention et la prise en charge de ce risque iatrogène constituent un enjeu majeur de santé publique.
Le rapport bénéfice/risque positif des anticoagulants, précise l’ANSM, est conditionné par leur bon usage :
- parfaite connaissance et strict respect des conditions d’utilisation des AMM des médicaments ;
- respect des recommandations de bon usage de la HAS ;
- usage adapté à chaque patient et surveillance régulière, avec réévaluation régulière de la tolérance et de l’efficacité ;
- coordination optimale du parcours de soins ;
- bonne adhésion des patients (information, observance, éducation thérapeutique).
Le sujet vous intéresse ?
À la lecture de cet article vous vous dites que vous aimeriez suivre une formation sur le thème « Anticoagulants : les anciens, les nouveaux et les HBPM » ? Le Quotidien du Médecin vous propose un programme de formation DPC indemnisée à suivre de chez vous.
Dr Emmanuel de Viel
Pour vous inscrire
- Trois sessions au choix : 12 octobre, 16 novembre 2016* ;- Une formation en 3 étapes : un audit de pratique, une visioconférence avec un expert, une évaluation concrète vous permettant de mesurer l’amélioration de votre pratique ;
- Indemnisation 3 demi-journées : 22,5 C/CS soit 517,50 euros ;
Inscrivez-vous
* La date indiquée est celle de la visioconférence. Les dates de l’audit qui précède sont précisées à l’inscription.

Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature