En cas de malaise, et dans tous les cas, mieux vaut hospitaliser : « pour identifier la raison de ce malaise à l’aide d’un interrogatoire long et précis, d’un examen clinique exhaustif et d’une batterie d’examens complémentaires, et en évaluer la gravité, la notion de simple ou grave étant éminemment subjective, fonction de l’anxiété des parents, toujours grande face à cet état de mort apparente : l’accident survient de façon inopinée et brutale (hors contexte fébrile), chez un nourrisson de 1 à 6 mois, plutôt un garçon, à la saison automno-hivernale, associant une modification du tonus et/ou de la coloration de la peau, avec ou sans perte de connaissance ou apnée, détaille le Dr Pierre Foucaud (CHU de Versailles). Il peut s’agir d’une apnée obstructive, d’un RGO, de douleurs aiguës, d’une hyperréflexivité vagale, d’un bébé secoué, de convulsions occasionnelles, d’une infection à composante encéphalitique, d’une intoxication à l’oxyde de carbone, etc. »
Malaise simple du nourrisson : direction l’hôpital
Publié le 11/02/2011
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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