Diversifier les profils des futurs médecins et sortir de la sélection par les maths et la physique. C’est l’un des objectifs de la réforme de l’accès aux études de médecine mise en place depuis cette année. En pratique, les candidats passent une épreuve orale afin de jauger leurs compétences personnelles sur des critères non scientifiques. Cette réforme a fait bondir certains étudiants de première année, recalés lors de cet oral jugé trop subjectif et perçu comme une discrimination positive injuste.
Sur quels critères sélectionner les futurs médecins ? Les compétences scientifiques sont-elles suffisantes ? Comment intégrer dans la sélection des qualités humaines plus subjectives ? Les profils littéraires font-ils de bons médecins ? À vous débattre…
C’est vous qui le dites
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