« Il n'y a pas de plan hôpital, mais il y a les GHT. »
Rachel Bocher (INPH).
« Le président de la République a complètement redéfini les GHT. Est-ce que l'hôpital de proximité va être sous la tutelle du GHT ou est-ce que la gouvernance va être placée en coconstruction avec la CPTS ? C'est une question essentielle. Quand on regarde ce qui se pratique actuellement avec les CPTS déjà existantes, le pouvoir est réparti de façon très variable entre les praticiens qui s'en saisissent. Ce sont souvent ceux qui s'y engagent le plus. Laissons les professionnels s'organiser. Nous n'avons pas besoin de règles précises. »
Jean-Paul Ortiz (CSMF).
« Très bien sur le deuxième recours, mais à condition qu'on aille au bout de la logique GHT avec une personne morale, un chef, un projet médical gratuit. Ces derniers sont une très bonne idée, à condition qu'on les appelle GHP (groupements hospitaliers publics) afin que le partenariat puisse se faire avec tous les acteurs. »
Antoine Perrin (Fehap).
Évaluation de compétences des médecins retraités, le débat s’enflamme : « Je voudrais bien connaître les résultats de ceux qui exercent »
Fin de vie : les doyens de médecine s’opposent à une formation obligatoire à l’aide à mourir
La justice ordonne la prise en charge des soins chirurgicaux d’une transition de genre
Fin de vie : Macron évoque un référendum en cas d’enlisement des débats parlementaires