« Vouloir absolument maintenir les dépenses de santé et surtout les recettes de ce système de santé plus faibles qu’elles ne doivent se développer, on génère du déficit et après on dit ‘Regardez il faut réduire le déficit’. Il y a quelque chose de construit dans ce déficit. Et je ne dis pas pour autant qu’il faudrait laisser filer les dépenses de manière incontrôlée. »
Nathalie Coutinet, économiste de la santé, maîtresse de conférences à l'université Paris 13 et membres du CEPN (UMRCNRS 7234), aux Matins de France Culture, le 28 septembre.
Évaluation de compétences des médecins retraités, le débat s’enflamme : « Je voudrais bien connaître les résultats de ceux qui exercent »
Fin de vie : les doyens de médecine s’opposent à une formation obligatoire à l’aide à mourir
La justice ordonne la prise en charge des soins chirurgicaux d’une transition de genre
Fin de vie : Macron évoque un référendum en cas d’enlisement des débats parlementaires