« Si l'on avait ralenti la progression du virus dans le monde, on aurait été confronté à moins de variants agressifs. L'apparition de mutations dépend de la masse de virus qui circule. Ce n'est ni en Corée du sud, ni en Australie ou au Vietnam que les variants les plus dangereux sont apparus, mais dans les pays les plus permissifs, qui ont laissé courir l'épidémie avant même de disposer d'un vaccin : le Royaume-Uni (variant Alpha), le Brésil (variant Gamma), l'Inde (variant Delta). Le monde entier a payé la note de ce laxisme. »
Renaud Piarroux, chef du service de parasitologie-mycologie à l'hôpital de La Pitié Salpêtrière (AP-HP) in Le Monde du jeudi 25 novembre.
Évaluation de compétences des médecins retraités, le débat s’enflamme : « Je voudrais bien connaître les résultats de ceux qui exercent »
Fin de vie : les doyens de médecine s’opposent à une formation obligatoire à l’aide à mourir
La justice ordonne la prise en charge des soins chirurgicaux d’une transition de genre
Fin de vie : Macron évoque un référendum en cas d’enlisement des débats parlementaires