Alors qu’aucun progrès significatif n’a été enregistré depuis près de trente ans dans le traitement médicamenteux de l’insuffisance cardiaque aigu, la sérélaxine démontre son effet bénéfique sur la survie. La prudence s’impose toutefois dans l’attente des résultats de l’étude RELAX-AHF-2 qui devra déterminer l’impact de la sérélaxine sur la mortalité cardiovasculaire à J180. Si cette étude est positive, le paradigme du traitement de l’ICA en sera modifié.
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CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
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