L’insuffisance cardiaque diastolique bénéficie depuis les dernières recommandations européennes d’une définition précise, exigeant la présence de symptômes typiques et de signes caractéristiques d’insuffisance cardiaque, une fraction d’éjection ≥ 50 % sans dilatation ventriculaire gauche et de l’existence, soit d’une anomalie structurale cause de la dysfonction diastolique, l’hypertrophie ventriculaire gauche, ou conséquence de cette dernière, la dilatation de l’oreillette gauche, soit d’une anomalie écho-Doppler témoignant directement de la dysfonction diastolique (élévation E/e’ au DTI en ETT notamment). Ce syndrome complexe ne se limite plus ainsi à un simple diagnostic négatif d’insuffisance cardiaque à fraction d’éjection préservée.
Une définition plus précise de l’IC diastolique
Publié le 11/10/2012
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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