L’Institut de veille sanitaire (InVS) coordonne les données issues :
– de la surveillance du SHU chez les moins de 15 ans, grâce à un réseau de services de néphrologie pédiatriques volontaires de 31 hôpitaux (100 cas environ notifiés chaque année) ;
– du Centre national de référence pour les E.coli (Institut Pasteur et hôpital Robert-Debré, Paris), qui caractérise les E.coli responsables de toxi-infections alimentaires et de SHU et alerte sur l’émergence de nouvelles bactéries.
L’InVS, qui travaille en collaboration avec les épidémiologistes de l’Institut de santé publique, à Berlin, centralise également les signalements de diarrhée sanglante ou de SHU survenant chez des personnes ayant séjourné en Allemagne dans les 15 jours précédant le début de leurs symptômes (dix cas de diarrhée signalés au 3 juin, aucun de SHU).
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