Les indications de la correction par lunettes des troubles réfractifs ont été revues. La question ne se pose pas en présence d’une pathologie, quelle qu’elle soit (strabisme, amblyopie, cataracte, glaucome congénital, etc.), où la prescription de lunettes est systématique. La correction doit être totale, la puissance étant mesurée après instillation de collyre cycloplégique. C'est dans le cadre du dépistage d’une anomalie de la réfraction que l'attitude a récemment évolué. « Auparavant, on corrigeait toujours une hypermétropie supérieure à 3,5 δ, rappelle le Pr Arnaud Sauer (Strasbourg). Désormais, en l’absence de symptômes, on ne le fait plus systématiquement. De même, en cas de myopie, il était jusqu’alors préconisé de sous-corriger. Ce dogme a été remis en cause et il est maintenant préconisé de normo-corriger ».
La correction évolue
Par
Publié le 15/02/2018
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Bilan Spécialiste
Congrès de la SNFMI 2025 : des cas pas si rares en médecine interne
Le pilotage de précision des grossesses sous immunosuppresseurs
Sarcoïdose : souvent thoracique, mais pas que
Savoir évoquer une dermatose neutrophilique