« Dès qu’on fait une gastrostomie, on entre dans une dimension thérapeutique, équivalente à celle de l’assistance respiratoire. Or on accepte très bien l’arrêt de cette dernière (sans dire que le patient s’étouffe), mais on tolère mal l’arrêt de l’AHA parce qu’on a l’impression de laisser le patient mourir de faim et de soif (ce qui est une ineptie) », constate Jean Leonetti.
Cette dimension symbolique, fantasmatique, conduit à des pratiques hétérogènes sur le territoire.
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