Ce que veut le GEMME
• Augmenter la prescription dans le répertoire en développant le CAPI (contrat d’amélioration des pratiques individuelles) et en créant un budget de prescription individuel.
• Élargir le répertoire aux sprays et aux antihistaminiques et, après avis de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), aux spécialités identiques qualitativement ou quantitativement, d’origine végétale, minérale ou animale.
• Lancer avec les pouvoirs publics une campagne de communication institutionnelle grand public sur les génériques.
Ce que refuse le GEMME
• Le tiers payant contre générique.
• La mention « non substituable », en exigeant que les exceptions pour raisons médicales tenant au patient soient justifiées auprès du médecin-conseil.
• La prescription en DCI dans le répertoire.
La consommation de cannabis double le risque de décès cardiovasculaire
Santé mentale : l’Europe s’engage à Paris à travers des politiques transversales
La cancérogénicité du glyphosate se confirme chez le rat
Implant Nexplanon : de nouvelles recos de l’ANSM en cas de migration