« Si j'ai besoin d'un secrétaire d'État, j'en ferai part au président de la République et au Premier ministre… » Agnès Buzyn a finalement été entendue. En dépit des rumeurs insistantes, le mini-remaniement de vendredi soir ne s’est pas traduit par l’arrivée d’un adjoint à la santé pour l’actuelle ministre. A priori, elle sort donc renforcée de cette séquence, puisque son souhait a été exaucé. D’un autre côté, l’ancienne patronne de la HAS va devoir continuer à gérer seule un département aux frontières étendues, puisqu’outre la santé, elle gère la politique familiale et les retraites. Un « empire » aux contours aussi vastes que celui de Marisol Touraine, sauf cette dernière pouvait compter alors sur trois fois plus de collaborateurs et était épaulée par deux à trois secrétaires d’État. Autant dire que pour Agnès Buzyn en première ligne, le risque d’exposition est maximal.
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Publié le 27/11/2017
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Source : Le Quotidien du médecin: 9622
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