L’histoire a montré que le secret médical et le secret d’État allaient de pair lorsqu’un président était affecté d’une maladie grave.
Mais même avec un président en bonne santé, le secret est la règle. Malgré l’accord confirmé par le service de presse de l’Élysée, le médecin en chef Jean-Christophe Perrochon, urgentiste du service de santé des armées détaché à l’Élysée pour diriger le service médical, a finalement refusé de recevoir le Quotidien (contrairement à son prédécesseur, le médecin en chef Claude Kalfon, médecin de François Mitterrand, puis de Jacques Chirac).
Après deux burn-out, une chirurgienne décide de retourner la situation
La méthode de la Mutualité pour stopper 2,4 milliards d’euros de fraude sociale
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé
À la mémoire de notre consœur et amie