En France, seulement une vingtaine de centres de rééducation ont pris le virage de la robotique.
Les investissements qui se chiffrent par centaines de milliers d’euros expliquent ce petit nombre, alors que la nomenclature des actes professionnels ignore obstinément l’utilisation des robots. « Avec la T2A qui nous sera appliquée dès mars 2016, s’inquiète le Dr Jean-Louis Isambert, médecin chef du Normandy, des séances de confort pour des patients âgés en EHPAD risquent même d’être mieux prises en charge par la Sécurité sociale que nos programmes. C’est une aberration totale. Dans ces conditions, nous ne savons pas comment nous pourrons faire face au renouvellement de nos machines, d’ici cinq à sept ans. »
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