« La loi de 2013 sur les cellules souches embryonnaires, qui a transformé le régime d’interdiction assortie de dérogations en autorisation encadrée de la recherche, n’a pas donné lieu à un afflux de demandes. C’est une recherche de pointe, menée par des équipes aux compétences très spécialisées. Nous allons en revanche avoir des demandes de renouvellement de dossiers, car 5 ans est une durée souvent trop courte pour ces études. La loi de 2013 a une portée symbolique ; elle sécurise le travail des chercheurs. Notre fierté aujourd’hui est de voir les équipes que nous avons accompagnées avec un niveau d’exigence éthique élevé, arriver au stade préclinique voire clinique », souligne la directrice générale de l’Agence de la biomédecine.
Recherche sur l’embryon
Publié le 22/06/2015
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9422
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