Sur 1 565 cas d’effets indésirables, 76 % concernent les compléments alimentaires, 16 % les boissons dites énergisantes, 4 % les aliments destinés à une alimentation particulière.
Les déclarants : 52 % sont des industriels, 20 % des centres régionaux de pharmacovigilance, 16 % des centres antipoison et de toxicovigilance, 4 % les hôpitaux, 3 % les pharmacies, 2 % les médecins de ville.
Les risques : 20 % hépatologie, 18 % gastro-entérologie, 16 % allergologie, 12 % neurologie, 10 % cardiovasculaire, 8 % dermatologie.
Les compléments alimentaires mis en cause : minceur 15 %, capillaire 11 %, hypocholestérolémiant et vitalité (9 %), digestion (8 %)
Un adulte sur 5 et un enfant sur 10 consomme au moins occasionnellement des compléments alimentaires.
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