Après recours, le Conseil d'État a autorisé Union collégiale (UC) et Jeunes Médecins à présenter des listes à ce scrutin. Opposé aux URPS, « qui ne servent pas à grand-chose » de l'avis de son président, le Dr Meyer Sabbah, UC présente des listes en Île-de-France et PACA pour dénoncer la « médecine d'État gérée par les Caisses ». Il s'oppose à la perte de la liberté d'exercice et de prescription et défend un tarif horaire de « 200 à 250 euros de l'heure » ainsi que la suppression des forfaits et en premier lieu de la Rosp. En Île-de-France, Jeunes Médecins défend « l'indépendance et la liberté de l'exercice libéral » et suggère de faciliter le début d'exercice. Le syndicat propose de créer des incubateurs régionaux pour faciliter l'installation, d'améliorer le congé maternité et paternité, de faciliter l'accès aux crèches des libéraux, d'aider à l'équipement des cabinets et de proposer un accompagnement psychique aux médecins qui le souhaitent.
Comment UC et Jeunes médecins vont tenter de percer
Publié le 19/02/2021
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Source : Le Généraliste
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