« Ces variabilités identifiées à l’intérieur du génome A(H1N1)v sont sans impact sur la virulence et sur la capacité antigénique, explique le Pr Bruno Lina, directeur du Centre national de référence de la grippe à Lyon. Sur les 8 segments du génome grippal, les deux qui portent des sites antigéniques ne sont pas modifiés sur des " portions à risque ". Il n’y a donc aucune conséquence à attendre sur l’élaboration des vaccins. Il ne semble pas exister non plus de différence de virulence entre ces deux "clusters", ou groupements de virus en français. En revanche, il semble que ces clusters ont des origines géographiques différentes. Il est envisageable qu’ils puissent évoluer en parallèle. »
L’avis d’un virologue
Publié le 24/11/2009
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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