La sophistication de la chaussure s’est encore améliorée. Les premiers mondiaux utilisent dorénavant des modèles sur mesure. Un tennisman de haut niveau utilise une paire toutes les une ou deux semaines, voire beaucoup plus, sur terrain dur et par temps chaud.
Des joueurs comme Novak Djokovic sont aujourd’hui capables de glisser sur surface dure, ce qui entraîne une usure prématurée. Roger Federer, « en temps normal », change systématiquement de chaussures toutes les 6 heures de jeu !
Savoir-faire français
L’utilisation des semelles s’est généralisée. Gilles Watelle et Christophe Salamon, les podologues de Roland-Garros, constatent avec satisfaction que le savoir-faire français gagne du terrain. Même les Américains, dont les semelles sont traditionnellement extrêmement rigides, d’une solidité à toute épreuve mais peu amortissantes, adoptent des semelles plus souples, plus confortables, malgré une usure plus rapide. Le maître en consommerait 20 paires par an.
Toutes les chroniques du Dr Jacques Parier sur Roland-Garros 2014.
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