L’empagliflozine (classe des SGLT2), avait montré pour la première fois en 2015 dans EMPA-REG qu’une molécule antihyperglycémique réduisait la mortalité CV et la mortalité toutes causes confondues ainsi que le risque d’hospitalisation pour insuffisance cardiaque de plus de 30 %, chez des diabétiques de type 2 à haut risque cardiovasculaire. L’étude Empareg Rénal Substudy vient de montrer sous empaglifozine une réduction de 39 % de la survenue ou de dégradation de néphropathie.
Article précédent
Repérer les hypertendus sensibles à la restriction sodée
Article suivant
Pancréas artificiel, feu vert dans deux ans
Repérer les hypertendus sensibles à la restriction sodée
L’empagliflozine protège le rein du diabétique
Pancréas artificiel, feu vert dans deux ans
La cancérogénicité du glyphosate se confirme chez le rat
Implant Nexplanon : de nouvelles recos de l’ANSM en cas de migration
Santé sexuelle à l’ère du numérique : des opportunités à saisir
Covid long : la physiopathologie est polymorphique chez les patients non hospitalisés