Le Parlement a définitivement adopté à une large majorité le projet de loi relatif à la protection de l'enfance fin janvier. La loi prévoit qu'une « garantie jeunes » (le Contrat d'engagement jeune), soit systématiquement proposée aux 18-21 ans passés par l'aide sociale à l'enfance (ASE) afin de favoriser l'insertion. Les jeunes auront aussi un « droit au retour » à l'ASE en cas de besoin jusqu'à 21 ans et seront prioritaires pour un logement social.
Seront mis en place des « contrôles stricts » des antécédents judiciaires des adultes au contact des enfants, notamment pour infractions sexuelles. Les établissements devront avoir une politique de prévention et de lutte contre la maltraitance.
De plus, la possibilité de confier l'enfant à un membre de sa famille ou à un tiers digne de confiance sera systématiquement recherchée. Les fratries seront par principe prises en charge dans un même lieu. Il sera proposé à chaque enfant un parrainage par des bénévoles et le suivi par un « mentor » lors de l'entrée au collège.
Article précédent
Le vaccin anti-méningococcique B recommandé chez le nourrisson
Article suivant
Covid-19 : un pic des contaminations observé en janvier
La prévention du syndrome du bébé secoué porte ses fruits
Éducation à la santé : l'expérimentation Alliance à l'école
Frénotomie buccale : alerte sur une hausse injustifiée des interventions
Cancers de l'enfant : des engagements pour relancer la recherche
Le vaccin anti-méningococcique B recommandé chez le nourrisson
Aide sociale à l'enfance : accompagner au-delà de 18 ans
Covid-19 : un pic des contaminations observé en janvier
Le taux de micro/nanoplastiques dans l’athérome carotidien est associé à la sévérité des symptômes
Dans la cholécystite, la chirurgie reste préférable chez les sujets âgés
Escmid 2025: de nouvelles options dans l’arsenal contre la gonorrhée et le Staphylococcus aureus
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé