« Même s’il est à faible risque, un sujet coronarien ayant une fibrillation atriale (FA) tire davantage profit d’un traitement anticoagulant que d’un traitement antiagrégant plaquettaire ». Telle est la conclusion des du travail présenté par Le Pr Laurent Fauchier (Tours), réalisé à partir des données des 883 sujets coronariens qui avaient une fibrillation atriale et un score CHADS2 de 0 ou de 1 inclus dans le registre regroupant les 8 962 patients hospitalisés au CHU de Tours entre 2000 et 2010. Après en moyenne trois ans de suivi, la prescription d’anticoagulant s’est révélée, après ajustement, significativement associée à un meilleur pronostic concernant le critère associant décès et accident vasculaire cérébral (risque relatif [RR]= 0,60 ; p = 0,) et le risque de survenue d’un événement cardiaque majeur (RR = 0,68 ; p = 0,02).
Chez les coronariens en FA
Un anticoagulant plutôt qu’un antiagrégant
Publié le 05/12/2012
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9201
Article précédent
Une nouvelle race d’hypolipémiants
Article suivant
Un traitement à l’essai
Une nouvelle race d’hypolipémiants
Un anticoagulant plutôt qu’un antiagrégant
Un traitement à l’essai
Le pontage fait mieux que l’angioplastie
Toujours pas de preuve d’un bénéfice
Pas d’utilité démontrée en pratique
Un concept, rien qu’un concept…
Leur place n’est pas dans la fibrillation atriale
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024