Dr Philippe Royer, 56 ans, Eybens (Isère)
« Comment gérer la pénurie médicale ? D’où le manque de disponibilité de notre part… »
Dr Roger Vernier, 67 ans, Marseille (Bouches-du-Rhône)
« Plus de philosophie et de psychologie dans la médecine et moins de contraintes administratives, même en fin de vie. »
Dr Nicole Roselier, 64 ans, Barre-de-Monts (Vendée)
« Ne rien modifier, donner des moyens humains et matériels. Rien d'autre. »
Médecin généraliste, homme, 48 ans, Béthune (Pas-de-Calais)
« Moins de cerveau, plus de bras ! »
Dr Gilles Jacotey, 56 ans, Collioure (Pyrénées-Orientales)
« A l'aide ! »
Dr Alain Gosselin, 66 ans, Gien (Loiret)
« Il faut parler davantage de la mort pour diminuer l’angoisse que nous en avons tous, patients et médecins. Il faut que le médecin ait le temps et les possibilités d´accompagner son patient mourant. »
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