Le Dr Vincent Ropars, généraliste remplaçant dans le Finistère, se trouve dans le même cas de figure. Pour lui, c'est désormais la colère qui prime à l'annonce d'une seconde plainte à son encontre.

Pour le président du SNMHF, le débat de fond est déjà tranché car « la ministre elle-même s'est exprimée sur le sujet ». De toute manière, le Dr Bentz est formel : « Notre plainte n'est pas sur ce terrain-là. »

S'il est encore trop tôt pour savoir ce que risquent réellement les médecins visés par les plaintes, la guerre entre pro et anti médecines « parallèles » continue bel et bien de diviser les médecins, en particulier sur les réseaux sociaux.