« Déjà présent dans la population des adolescents, le risque suicidaire est augmenté chez les jeunes acnéiques, notamment chez ceux ayant une acné sévère. Et il est aujourd’hui difficile de faire la part du risque lié à l’isotrétinoïne et du risque lié à la pathologie. Néanmoins, on a rapporté des cas isolés de suicide liés
à la molécule. Ce phénomène est excessivement rare et non prévisible, mais il est recommandé d’être prudent dans sa prescription chez des enfants reconnus pour avoir des troubles ou une fragilité psychiatrique et de s’appuyer de l’avis d’un psychiatre. C’est dans ce but que l’Afssaps est en train de mettre au point une échelle psychologique qui devrait être disponible dans les prochains mois ; elle devrait être utilisée avant la mise en route de l’isotrétinoïne chez l’acnéique. »
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Un outil d’évaluation visuelle : l’échelle GEA
Expliquer l’utilité d’une prise en charge psychologique
Qu’en est-il du risque suicidaire sous isotrétinoïne ?
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